212 pages au format XL 23×28.5cm, avec un papier épais, durable et éco-responsable.
Un numéro par an, pour vivre l’escalade avec passion. À l’intérieur, vous retrouverez 12 articles Grand Format exclusifs sur des sujets divers et variés (culture, entretien, aventure, immersion, …) + un portfolio avec les meilleurs photographes du moment + toute l’actualité de l’année 2023 passée au crible, une mise en page soignée.
Edition limitée
Notre premier engagement est de vous raconter des histoires exclusives, pour vous faire vivre intensément le monde de la grimpe. Voyages, rencontres, analyses : plongez au coeur du monde de la grimpe.
Parce que les histoires sans photos n’auraient pas la même saveur, chaque image a été minutieusement choisie pour sublimer le magazine.
Nous n’avons pas hésité à faire appel aux plus grands photographes du monde de la grimpe, sans aucune concession. Un seul objectif, en prendre plein les yeux.
Notre dernier engagement a été de choisir un papier de qualité, éco-responsable, sans lésiner sur la qualité d’impression qui sera française, ce qui se fait rare de nos jours.
En bonus, nous avons souhaité réduire drastiquement les pages de publicité, et vous ne trouverez pas non plus d’article sponsorisés ni de tests matos. Le mag est et restera 100% libre et indépendant.
« L’ouverture d’une grande voie, c’est la promesse d’un voyage émotionnel fort. Cette paroi des Écouges était exactement le type de paroi que nous espérions trouver un jour à ouvrir : un rocher compact et raide proposant des difficultés homogènes. Équiper c’est aussi mettre en lumière cette beauté cachée de la nature. À l’ouverture, tout est lent, c’est une activité très contemplative, comme la navigation en mer. Les courbes des vagues lointaines sont semblables à la forme des aplats rocheux. Et nous, “Marins d’eau douce” essayons de déceler ces aspérités pour trouver un passage d’escalade possible. Guidés par les choix de Mère nature, nous tentons de mettre en valeur ce petit bijou qu’est la roche ».
Par Symon Welfringer et Laurent Thévenot
Dans sa forme initiale, l’escalade consistait simplement à partir du sol pour arriver au sommet d’une paroi sans bien se soucier du niveau ou de la performance. Cette pratique, vieille d’un siècle, est devenue aujourd’hui très populaire. Au début du XXe siècle, les grimpeurs ont voulu y associer un système de cotation permettant de rendre compte de la difficulté d’un passage. Ce système de cotation s’est spécifié progressivement pour devenir celui que l’on connait aujourd’hui : un chiffre, une lettre et pourquoi pas un petit plus et/ou un petit slash. Mais pourquoi s’entêter à donner systématiquement un niveau de difficulté aux voies ou blocs ? Le simple plaisir du beau geste ne pourrait-il pas se suffire à la pratique ? Faut-il nécessairement coter un passage pour le rendre attrayant ?
Par Nico Pelorson
Passionné de photos, d’escalade et de grands espaces, Jan Novak fait désormais partie des grands photographes de la planète grimpe. Tchèque d’origine, il vit actuellement en France, dans les Hautes Alpes où il a trouvé son équilibre. Avide de voyage et de rencontre, il nous emmène avec lui dans l’un de ses derniers périples, au Brésil, où il a vécu une aventure riche en émotion.
Par Jan Novak
Jeux Olympiques de 2021, pour la première fois de leur histoire, l’escalade et le skateboard font leur entrée sur cette scène mondiale. Voir mes deux passions de toujours, accéder en même temps à cette reconnaissance était pour moi une évidence. Dans mon enfance, j’ai vécu une errance sportive et occupationnelle ne me sentant jamais à l’aise dans une activité. Trop émotif pour les arts martiaux, trop timide pour les sports collectifs. Je ne faisais jamais plus que quelques mois dans un club. Alors que ma mère désespérait de me voir toujours devant la TV, l’escalade et le skateboard sont arrivés dans ma vie en même temps et ont résonné de concert depuis. Que pouvaient donc bien m’offrir ces deux sports pour avoir trouvé grâce à mes yeux d’enfant difficile ?
Par Matthias Paré
Seb est un passionné, de ceux dont on sait qu’ils n’arrêteront jamais de grimper et ce même avec un oeil en moins, même avec un bras dans le plâtre (anecdotes véridiques !). Il aime ce sport profondément, il y va qu’il fasse beau ou qu’il pleuve, qu’il aille bien ou moins bien. C’est quelqu’un de peu commun, d’authentique, avec une grande tranche de bonne humeur, une âme d’enfant. Lorsqu’on l’aperçoit, on pourrait penser que tout lui glisse dessus : chaussettes dépareillées, débraillé, des épis dans les cheveux... Mais lorsqu’il s’agit d’escalade, c’est un perfectionniste, l’entraî- nement, le lieu, le projet... Seb se rappelle des méthodes de chaque voie qu’il a faite, mais également de celles de ses partenaires de grimpe, qu’ils soient dans le 6e ou le 9e degré ! Il nous délivre quelques lignes sur son parcours, sa vie et sa vision de grimpeur.
Par Clarisse Bompard
Un défi hors norme et éco-friendly à Fontainebleau pour Hugo Parmentier et Seb Berthe.
Par Hugo Parmentier et Seb Berthe
Elle fait partie de ces athlètes qui ne semblent pas ressentir la fatigue, la douleur ou la déception. Comme im- perméable aux énergies négatives, Brooke fait rayonner avec son sourire toutes les compétitions auxquelles elle participe (et elles sont nombreuses). Cheveux tressés et ornés de chouchous, elle défend férocement sa place face aux compétitrices les plus redoutables de la planète, sans manquer d’adresser un signe à ses supporters avant de quitter la scène. Son talent, qui a souvent été mis sur le compte de la génétique, relève forcément d’un investissement plus profond, d’une vie dédiée à ce sport. Derrière ce visage jovial se cache un bourreau de travail, déterminée dès son plus jeune âge à devenir la meilleure.
Par Morgane Morel
Championnats du Monde d’escalade, Berne 2023. La compétition bat son plein et les journées sont aussi intenses que riches en émotion. Mickaël Mawem vient d’être sacré Champion du Monde de bloc. Mejdi Schalck, a lui, fièrement décroché la médaille d’argent, juste derrière son ainé. Wow ! Depuis le début de l’événement, l’équipe de France brille de mille feux. Et rien ne serait possible sans cet homme, qui fait les mille pas dans le corridor prévu pour les coachs. Si nos Bleus performent si bien aujourd’hui, c’est en partie grâce à tout ce qu’il a mis en place pour l’équipe nationale. Si je viens d’employer le verbe « performer », ce n’est pas un hasard. C’est en vérité pour habituer votre cerveau à ce mot... Car ce terme, Nicolas Januel l’a utilisé plus de 23 fois au cours de notre entretien.
Par Nicolas Mattuzzi
Nous avons suivi pas à pas l'ouverture de la coupe du monde de difficulté de Chamonix. Une sacrée épreuve pour les ouvreurs avec de nombreux rebondissements...
Par Nicolas Mattuzzi
Le championnat du monde 2023 qui se tenait à Berne était historique à bien des égards, et nous ne pouvions pas lui consacrer moins qu'un grand format spécial.
Par Nicolas Mattuzzi et Charles Loury
Née de l’union entre terre et mer, la pratique « Deep Water Soloing » (DWS) ou « psicobloc », selon les goûts, émerge en saison estivale. Alors que certains en sont encore au stade de « l’école de vol » à enchaîner les chutes pour se familiariser avec la gravité, d’autres s’élancent dans des projets avec comme unique sécurité l’étendue aquatique sous leurs pieds.
Par Morgane Morel
Tokyo 2020. L’escalade est représentée pour la première fois aux Jeux Olympiques. Les meilleurs grimpeurs de la planète sont réunis dans la capitale japonaise pour tenter de décrocher les premières médailles olympiques de notre sport. À cet instant, de l’autre côté du globe, la nouvelle génération de sportifs voit alors germer un nouveau rêve : participer à cette compétition emblématique sous les couleurs de leur pays. Un rêve, rapidement transformé en objectif, qui allait complètement bouleverser la suite de la carrière de nos jeunes grimpeurs. En 2020, Oriane Bertone, Mejdi Schalck et Paul Jenft ont respectivement 15, 16 et 17 ans et commencent déjà à se faire un nom sur la scène nationale et internationale en catégorie jeune. Immersion au cœur de la préparation olympique des trois plus grands espoirs de médailles françaises aux J.O.
Par Morgane Morel et Nicolas Mattuzzi